Sandra, Prince & Lord    

Vendredi en fin de journée c’était cours particulier avec Renaud Subra pendant un peu plus de 2h avec Prince et Lord à la maison.

J’ai rencontré Renaud lors d’un stage avec Ludovic Fournet ; quelques mois après je participais à un de ses stages axé sur du horse coaching. Cette journée avait débloqué énormément de choses; et les échanges résonnent encore en moi a l’heure actuelle.

Pour ce qui concerne le travail à pied, il va nous “aider à trouver les gestes, postures et un bon langage corporel et intentionnel pour établir une meilleure communication avec notre cheval”.

Ce cours de vendredi n’était absolument pas prévu, puis une publication de Renaud en début de semaine qui explique qu’il vient en Dordogne et hop je me lance pour lui demander de venir nous voir!

À mon sens il est nécessaire pour avancer et évoluer de se former continuellement, c’était donc une superbe opportunité.
Une première pour les loulous et pour moi, puisque quelqu’un venait chez « nous » rien que pour « nous ». A savoir que Renaud se déplace très rarement là où nous nous situons, j’étais donc vraiment ravie qu’il vienne!

En début de séance il m’a demandé ce que je voulais travailler spécifiquement, et sans attendre j’ai voulu axer le travail sur le fait de pouvoir rendre mes chevaux plus « autonome » et gagner en légèreté également.
En faire moins pour qu’ils en fassent plus, voilà ce qui a été la trame directrice de notre séance, sans oublier évidemment de faire énormément de pauses entre les demandes correctement effectuées pour prendre le temps de se retrouver en tout simplicité.

On a aussi axé le travail sur mon corps et ma respiration, pour que cela soit plus fluide et que je sois plus légère de mon côté (travailler sur soi-même est quelque chose d’inévitable et de primordial pour évoluer dans le bon sens dans nos échanges avec les chevaux).
C’était une très bonne séance autant pour Prince et Lord que pour moi!
Encore merci Renaud pour cette superbe séance qui a été réellement bénéfique pour notre trio.

« Le jour où je n’aurais plus que des certitudes je cesserais de progresser »